Les photos sont en bas de cet article !

L’esprit de la TransbiKING ? Traditionnellement à l’arrivée d’une course on entend les coureurs échanger sur leur classement de la dernière édition, en s’évaluant les uns aux autres et en comparant d’une année sur l’autre… Discussion classique qu’elle soit « formelle » ou « informelle »…

L’épreuve de la TransbiKING ne repose pas sur la logique officielle… bien sûr il y a un premier et un dernier, mais le concept de la course n’est pas de mettre en avant le classement.

Mais alors ?!  y a t-il réellement performance sportive dans cette épreuve ?

Vous en doutez parce qu’il n’y a pas de classement des coureurs ? Je vous invite à tester le parcours si vous avez des doutes ! La performance motrice ne s’étalonne pas exclusivement sur les champions et l’élite sportive, mais plutôt sur la production motrice d’un individu à un instant « T »… L’objectif ici est de se sur-passer, sur-motiver, se défier soi-même et je vous promets que les parcours proposés par l’équipe valent le détour en terme d’engagement physique !

Bon ça c’est dit (et ça n’engage que moi) !

Côté photographe… ? Prise en main… Expérimentation et gestion de la lumière.

Reprenons !: « Le fil rouge sur la borne… rouge et le fil vert sur la borne… »

La course c’est pour moi un « grand laboratoire ». Il s’agit de mon second test de ma torche Ranger RX AS Elinchrom (pour les compétiteurs, comprenez « le truc qui ressemble à une soucoupe volante… »).

Test de l’utilisation du matériel dans l’environnement, gestion des paramètres flash/distance sujet,  gestion des valeurs du boitier (iso – ouverture – vitesse) et maîtrise du réglage de la puissance de la source lumineuse… ça en fait des paramètres à maîtriser dans ma p’tite tête…

La photo au générateur/flash est source de contraintes… je découvre les joies des changements ombre/soleil qui ont forcément une énorme incidence sur le placement de la source de lumière, mais aussi des problèmes liés à l’environnement. Par exemple, allez faire tenir le trépied du flash dans une énorme pente…

Acte 1 : La gestion de la lumière avant tout !

Sans me lancer dans des plans photos ambitieux un premier point émergeant de l’utilisation du générateur Elinchrom, c’est la qualité de la source lumineuse (normal c’est Suisse!).

Un p’tit exemple avec les 2 photos publiées dans l’article. Un biker saisi avec le flash cobra « full power » et un autre biker pris avec le générateur « Elinchrom Ranger RX « … Différence de puissance mais surtout différence de qualité de source lumineuse.

En ce sens, avec l’Elinchrom il est quasi possible de tout faire !

Acte 2 : Construire la scène ! Souhaitant dompter mon « Ranger RX AS », dans ce contexte il faut impérativement repérer et construire une « scène » afin d’optimiser son placement. Au delà de la prise de vue et de l’effet que l’on recherche il est nécessaire d’intégrer le placement de la source lumineuse artificielle qui à elle seule permet de s’affranchir de la lumière du soleil !

De belles perspectives créatives s’ouvrent à moi ! Merci à tous les coureurs.

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2 commentaires
  1. Bonjour Monsieur Meurisse,

    un petit mail pour savoir si vous comptez uploader d’autres photos de la

    Transbiking. Je l’ai faite avec un copain (dossards n°20 et 21), mais on

    n’a trouvé que deux photos :

    _MG_5566-border où l’on me voit, mais mon collègue est juste derrière en

    rouge

    _MG_5620-border où nous sommes malheureusement de dos.

    auriez vous d’autres clichés souvenirs éventuellement.

    Sportivement.

    Arnaud

  2. On peut se tutoyer… je vais fouiller dans les archives !

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